L’enfant profite grandement de cet acte, comme il profite de la prière faite en sa faveur, de sa présence dans les lieux des rites et de la sacralisation faite pour lui, etc.
Il fait partie de la tradition prophétique que le sacrifice soit fait le 7ᵉ jour, la sagesse derrière cela est qu’au septième jour, la semaine se termine, l’enfant a vécu tous les jours de la semaine et on espère qu’il continuera à vivre longtemps in sha Allah.
Cheikh Al-Albani précise que le sacrifice doit être fait le 7ᵉ jour, mais qu’il peut être repoussé au 14 et 21ᵉ jour si on ne peut pas le faire avant, car le prophète sallallahou ‘alaihi wa sallam a dit :
” Tout enfant dépend d’un sacrifice animal à égorger au 7ᵉ jour de sa naissance. Puis, on le rase et on lui donne un nom” (hadith rapporté par Abu Dawoud)
De plus, le statut juridique de cette adoration est fortement recommandé et fait partie des droits de l’enfant sur ses parents.
D’après l’imam Ahmed, celui qui ne sacrifie pas pour son enfant en ayant les capacités se verra priver de l’intercession de son enfant. Ainsi, cet acte constitue une sorte de rançon par laquelle on rachète le nouveau-né comme Allah racheta Ismaïl par la bête.
Il n’est pas exclu que dans la Sagesse d’Allah, que cet acte d’adoration soit une cause de baraka, de bénédiction dans la vie du nouveau-né. Que cela soit une cause de sa bonne croissance, de sa santé, de son obéissance en le protégeant contre le mal du démon, de sorte que chaque organe de la bête constitue une rançon pour l’organe équivalent du nouveau-né.
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